Ouest-France: un article sur notre 3D Indoor Vern 2019

Le journal Ouest-France dans ses pages sur Vern-Sur-Seiche de l’édition du 25 février 2019, est revenu sur la rencontre amicale de tir sur cibles 3D en salle que nous avons organisée les 23 et 24 février 2019 à Vern-sur-Seiche (35) en Bretagne.
Retrouvez l’article « Tir à l’arc : 200 archers compétiteurs engagés » sur https://www.ouest-france.fr/bretagne/vern-sur-seiche-35770/tir-l-arc-200-archers-competiteurs-engages-6234940

Déjà, dans son édition du 22 février 2019Ouest-France nous avait fait l’honneur d’annoncer l’événement dans son article « Une compétition de tir à l’arc ce week-end » : https://www.ouest-france.fr/bretagne/vern-sur-seiche-35770/une-competition-de-tir-l-arc-ce-week-end-6232903
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Résultats du 3D Indoor de Vern 2019

Notre club des Archers de Vaugon a organisé une rencontre amicale de tir sur cibles 3D en salle les 23 et 24 février 2019 à Vern-sur-Seiche (35) en Bretagne.

Grace aux membres, parents et amis, l’organisation de ce week-end a été une belle réussite.
Ce 3D Indoor de Vern 2019 n’aurait pas non plus pu avoir lieu sans les clubs et membres de l’association SOLID’ARC 35 qui ont chacun amené et installé des cibles pour cette rencontre.

Un grand merci à tous pour avoir su faire de ce week-end un moment de rencontre convivial et joyeux.

Quelques photos pour immortaliser l’événement

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Usher 2, une maladie à bas bruit

Le manque de visibilité et de moyens, chez les archers, on connaît. Notre sport pourraît être qualifié de confidentiel -75 500 licenciés contre plus de deux millions pour le football, par exemple. Et qui, en dehors d’un cercle restreint de passionnés et de leurs proches, connaît le tir 3D ?
Quant aux moyens, on a appris à faire beaucoup avec peu. On sait se remonter les manches pour soutenir et développer la pratique de notre sport, aller frapper aux portes pour solliciter des financements.
Nos atouts, ce sont la bonne volonté, l’investissement personnel et la solidarité. Nous ne pourrions rien faire sans cela.

Le syndrome d’Usher 2, c’est un peu pareil. Une maladie génétique rare : un cas sur 25 000 naissances. Qui passe sous les radars des grands laboratoires, car la recherche ne serait pas rentable. Qui n’est pas financée par le secteur public, lequel a d’autres urgences.
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